L'intrégation de la jeunesse aux affaires publiques de son pays

Tous droits réserver de la SMAYH
 


                                     


                                       Port-au-Prince, Haïti 1 Juillet 2008
           
       CAMPAGNE D'INTEGRATION DE LA JEUNESSE

Nous , Jeunes a qui on n'accorde aucune valeur, nous voulons être écoutés, intégrer  et participer dans la politisation et les décisions, et que l'on tienne compte que la jeunesse est la venir et la respiration d'un pays et tous pays qui n'ont pas une jeunesse participative meurt. 

Mesdames et Messieurs, les chefs d’Etat et de gouvernement, de société civile, des ONGs, des Ambassades, des Bailleurs de fonds, des organisations de toutes sortes, des institutions privées, J’adresse à tous les secteurs que vous représentez le salut fraternel de la Jeunese.

Nous lancçons une campagne d'intégration de la jeunesse pour la réduction de la pauvreté et la violence en Haïti. c'est pour la première fois que la SMAYH s'exprime au nom de tous les jeunes, et demande l'intégration pour résoudre à l'épidémie de pauvreté et de violence, la SMAYH ne cesserait jamais de penser à tous ces enfants, jeunes et femmes qui, dans un des moments les plus tragiques pour Haïti entre février 2004 et novembre 2005, les armes à feu ont causées la mort de plus de 3,500 personnes et ont provoqués des milliers d'autres victimes, dont les organisations humanitaires n'ont pas données les chiffres exactes. où le pays risquait de sombrer dans la barbarie, des enfants, des jeunes, des femmes et des hommes, trouvant cette fatalité insupportable, ont su opposer à la force, à la misèrehumaine, à la violence, à la barbarie, la justice et la paix. c'est alors que nous jeunes avons formé une coordination qui regroupe actuellement des organisations de jeunes, de femmes, de droits humains, des organisations oeuvrant dans l'agriculture, l'éducation, la culture, la santé, la communication sociale, des organisations de développement, de paysanne.
Cette coordination, ce n'est pas une simple construction politique, ce n'est pas une construction juridique, c'est. Un réveil de la conscience humaine contre tout ce qui menace de detruire Haïti. Nous n'avons jamais cru que la jeunesse pourrait un jour extiper la violence et le dikta de 2004. Mais ce que savons au plus profond de chacun nous c'est malgré tous ces manipulations, démagogies buff et échecs, sans ces jeunes, nous n'aurions jamais pu mettre un terme à  tous ces conflits qui paraissaient sans issue. Souvenez-vous le génocide de Cambodge et..... ce peuple martyrisé par ces bourreaux, sans la jeunesse, Haïti aurait peut-etre connu un génocide sans doute plus effroyable des autres pays. Haïti est convaincue que la jeunesse est le seule remède que nous ayons à dresser contre l'aveuglement et la folie qui parfois s'emparent nos hommes politiques. L'intégration que demande la jeunesse par le biais de la SMAYH est simple: Haïti ne doit pas être affaiblie, il doit être renforcé. Et la réforme de l'état pour l'adapter aux réalités de ce peuple passif. est pour nous jeunesse, une priorité absolue. Nous avons pas le temps d'attendre. c'est lorsqu'ont intègrent tous le monde dans la politisation, qu'il faut poser et résoudre les problèmes d'Haïti, personne dans le pays ne peut se mettre tout seul à l'abri des conflits contre les égoïsmes, contre les fanatismes, contre la haine, contre le kidnapping, nous les jeunes, nous avons le devoir de renouveler l'appel à la conscience et notre mode de penser et d'agir qui a déjà permis que pour la première fois dans notre histoire, tous les haïtiens acceptent de se réunir au bois-caïman pour se parler par delà tout ce qui nous divise. Cet appel à la conscience universelle, c'est un appel à la responsabilité de chacun de nous. Et c'est une campagne à la justice. La jeunesse à toujours cherché d'envoyer des hommes pour la représenter et prendrent des décisions à sa place. La jeunesse haïtienne comme toutes les autres a, au cours de sa longue histoire, commis des erreurs. Mais elle a toujours choisi le camp de la liberté, de la tolérence et même de la démocratie. elle est fidèle a sa maternelle, aux hommes politiques, aux organisations internationaux, aux Ambassades et aux respects qu'elle a pour eux. Mais la jeunesse veut dire que cette fidèlité n'est pas une soumission, elle n'est pas non plus un enfermement. cette fidèlité,  la  jeunesse veut la mettre au service de l'intégration et de l'ouverture aux autres dans le fonctionnement de l'état et la justice. La SMAYH veut dire a tous les secteurs de notre société qu'ils soient locales ou internationales que la jeunesse par le biais de sa coordination restera disponible pour parler avec chacun dans le pays. l'ouverture que demande les jeunes n'est pas la démission, que la compréhension ce n'est pas la faiblesse. La faiblesse et la démission, ce sont pas des facteurs de paix mais de conflit. Quand on est faible et soumis, alors on se prépare  à accepter les conflits. Et nous avons tous le devoir de faire en sorte que cela ne recommence jamais. il n'y aura jamais pas de paix dans le pays si les Ambassades, les ONGs Les Baileurs de fonds, transigent avec le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes et avec les droits de l'Homme s'ils n'ont pas une volonté de forcer l'état, le gouvernement à l'intégration de la jeunesse et a respecter les principes. je veux dire avec gravité. Qu'il y a trop d'injustices pour et de partisanneries en Haïti pour que ce pays puisse espérer de vivre en paix et en démocratie. Les fondateurs de la SMAYH s'avaient qu'ont lit l'avenir d'Haïti dans le regard d'une jeunesse d'espérées. qui a faim, a besoin d'emploi, qui sont humiliés, de jeune qui depuis sa naissance n'a connu que desception et humiliation parce que dans le regard d'espéré de ce jeune là, il n'y pas simplement la souffrance et la haïne, il y a toutes les humiliations humaines, toutes les révoltes qui demain ensanglanteront Haïti. Regarderons notre pays tel qu'il est regardons ce que nous avons fait. Avons-nous assez voulu que notre Haïti devienne plus juste? la réponse est non. Avons-nous assez agi pour cette justice? la réponse c'est non, le glât est sonné pour que des citoyens conscients du cancer social, politique et économique dont nous vivons réagissent, pour modifier notre mode de penser et faire une autre illustration de ce peuple. Notre mère lance le crie d'alerte, et nous la Jeunesse nous allons agir pour répondre à l'appel. La jeunesse lance une appel à la conscience solennel à ceux qui haussent leur épaules, et disent Haïti ne sera jamais un pays et leur dire qu'Haïti n'a jamais été en cause, quoi qu'on ait dit, et qu'au contraire si on avait voulu faire un peu plus de cas de lui, au lieu de jouer la comédie avec nos grandes démonstrations politique nous en serions sûrement pas là. On est tous responsables, l'heure est enfin venue où ce pays qu'on rend si volontaire responsable de nos malheurs et de nos découragements, s'adresse à ses fils haïtins, comme autre fois dans la révoluton de 1879 aux haïtiens de bonne volonté, l'appel est adressé à chacun de nous. A vous, Haïti cherche ceux qui lui appartiennent ceux qui dans la lutte décisive, prendront position pour li, une tâche immense est devant nous...

 Après le depart de M. Aristide février 2004, nous avons tous rêvé que l'histoire cesserait d'être tragique. Regardons cette belle femme créole telle qu'elle est afin de la rendre heureuse jugeons la à l'aune de la justice. la justice c'est que le peuple haïtien ait le droit de vivre comme  les autres peuples du monde. la justice c'est que la jeunesse haïtienne trouve sa liberté et son intégration dans la politisation de son pays. La justice c'est que le pays en développement auquel on voudrait imposer des règles environnementales alors que les habitants ont à peine de quoi manger ou ne peut manger, soit aidé pour les mettre en place. La justice c'est qu'on ne puisse pas exploiter les ressources des personnes qui travaillent dans des factories sans en payer le juste prix. Regardons Haïti en face, il y a une multitude d'hommes, femmes, jeunes et enfants, qui mVme plus l'espoir de sortir un jour de leur détresse infra-humains. Tandis que, sur quelques groupes rentent autant de profits. Au non de la Jeunesse Haïtienne par le biais de la SMAYH, j'appelle tous les Ambassades, ONGs et Bailleurs de Fonds. à se réunir pour fonder le nouvel ordre Politico-économique du 21ème siècle avec l'intégration de la jeunnesse  et de tous le monde sans distinction et les responsabilités assignés à chacun, sur cette idée forte que les biens communs d'Haïti doivent être placé sous la responsabilité de tous les haïtiens toutes entiers. Alors pour terminer, je veux m'adresser à la conscience de tous ceux qui ont une responsabilité à la conduite des affaires d'Haïti, parce que si nous le faisons pas, les jeunes, les pauvres et les exploités se révolteront un jour contre l'injustice qui est faite. comme disait l'autre je lance un appel solennel aux Nations-Unis, aux ORGs, aux Ambassades, aux communauté internationnales pour qu'elles prenent en main la question d'une plus répatitions des profits, parce que la majorité des groupes ne bénéficeront pas, les dons se commercialisés. je veux que les groupes se bénéneficeraient eux-mêmes non pas par le biais du gouvernement et autres. Je lance une campagne solennel aux instances du monde, qu'elles se donnent les moyens d'assurer à tous les hommes à travers le pays l'accès aux ressources vitales, de l'eau, de l'energie, de l'alimentation, des médicaments et accès à des formations. si toutes ces choses se donnent là on peut parler des Droits de l'Homme.

Mesdames et Messieurs,

Il faut que les choses changent, que les mentalités changent, que les comportements changent. C’est notre responsabilité. C’est notre responsabilité maintenant parce que demain il sera trop tard, parce que sinon nous verrons ressurgir toutes les menaces que les hommes de.... croyaient avoir conjurées Ne prenons ce risque à la légère.

Jeunesse de mon pays, ensemble nous pouvons construire un avenir meilleur pour tous les hommes.

Il ne dépend que de nous, de notre capacité à être fidèles aux valeurs au nom desquelles nous voulons être intégre et pourquoi nous sommes  ici sur cette terre.

Vous l’avez compris, Haïti pense que nous n’avons plus le temps d’attendre. La jeunesse demande l’action, la Jeunesse encourage l’action, la Jeunesse sera au rendez-vous de l’action au service de la paix dans le pays.

Je vous remercie.

          Auguste E. Vladimir
Secrétaire Général / Fondateur









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